« S.O.S. »
Lyme, une épidémie invisible
REGARDEZ LE ‘S.O.S. DOCUMENTAIRE LYME ICI:
“Thanks so much for this great film. A very impressive documentary about how it is to live with an unrecognised disease. An informative documentary that shows the harsh reality but also gives hope. Everyone should watch this S.O.S. Lyme Documentary”
– Dr. Armin Schwarzbach – Arminlabs
“This film is very good since it shows the distress, even death and then the hope with even the recovery at a part of the patients”
– Prof. Christian Perronne
“Very good documentary”
– Prof. Dr. de Meirleir
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Le documentaire
‘’S.O.S Lyme, une épidémie invisible’’ s’occupe des aspects les plus sérieux de la maladie de Lyme, comme la paralysie, la cécité et la douleur. Mais il en montre aussi les conséquences, comme l’absence de prise en charge, les abus commis aux enfants, l’euthanasie, les problèmes de protection sociale et les erreurs de diagnostic. Les patients seront interviewés, ainsi que des experts néerlandais et des médecins internationaux tels que le Dr. Horowitz, le Dr. Burrascano, le Dr. Klinghardt et le Dr. Schwarzbach.
Marc
Marc vient de Belgique. Il était grièvement malade et n’avait plus d’espoir. Les docteurs lui avaient même suggéré l’euthanasie jusqu’à ce qu’il trouve finalement le bon traitement. Il est aujourd’hui guéri.
Aubry
Aubry est né avec la maladie de Lyme qui lui a été transmise par sa mère, qui a eu régulièrement des tests positifs à Lyme. En conséquence, dès son plus jeune âge Aubry était plus fatigué que ses amis. A 27 ans, juste après 3 vaccinations, Aubry a souffert de douleurs névralgiques, de palpitations cardiaques, de fatigue et d’acouphènes. Sa santé continua à s’aggraver au point qu’il est devenu grabataire. Il est maintenant en cours de traitement avec le Professeur De Meirleir et espère pouvoir revivre de manière indépendante dans le futur.
Angelina
Angélina a 59 ans et souffre de la maladie de Lyme depuis l’âge de 6 ans. Elle n’a pas d’argent pour un traitement. Son état s’est tellement détérioré depuis des années qu’elle a décidé de mettre fin à sa souffrance et d’être euthanasiée cette année. Nou allons la suivre pendant sa dernière année.
Annelies
Diagnostisée tardivement, Annelies était alitée il y a 10 ans. Cette situation pénible et son combat solitaire l’ont poussée à créer la fondation en Belgique « Time for Lyme ». L’objectif: la reconnaissance par le biais d’ actions préventives, d’ interventions politiques afin de faire prendre conscience, d’informer correctement et de soutenir la recherche. Grace aux traitements ILADS, Annelies a progressé et retrouvé un peu de qualité de vie.
Kate
Kate est une dame belge toujours positive. Du moins, elle l’était. Longtemps malade, elle a été diagnostisée avec la maladie de Lyme et plusieurs co-infections par un médecin ILADS. Depuis, son état a progressé et elle ne se sent plus emprisonnée dans son corps. Elle a recommencé à faire du sport, elle peut de nouveau s’occuper de ses enfants et comme Daisi, elle retrouve peu à peu sa vie d’antan. Elle va raconter comment elle a pu rester positive pendant la lourde période de sa maladie.
Rosan
Rosan lutte pour sa vie. Un traitement très cher à l’étranger la sauverait mais elle ne peut pas se le permettre financièrement. Elle a besoin de récolter des fonds. Le retard quant à sa prise en charge a pour conséquence que son état s’aggrave dramatiquement sans traitement.
Daisy
Daisy était dans un état critique et son état s’est très nettement amélioré avec son traitement ILADS à l’étranger. Elle est presque guérie. Daisy a aussi contaminé son mari, qui est aussi en train d’être soigné de la maladie de Lyme. Aujourd’hui, Daisy se dédie à lutter pour la reconnaissance de la maladie au nom des gens souffrants de la maladie de Lyme.
Amber
Amber est couchée dans le noir 24 heures sur 24. Elle est extrêmement fatiguée en conséquence d’une hypersensibilité aux lumières et aux sons, d’insupportables douleurs neuropathiques et de paralysies. Pendant qu’elle et sa famille essayaient de faire face à cette terrible maladie, un rapport des services sociaux la menaçait de la mettre dans une maison de soins (malgré le fait que les autorités admettaient qu’elle était bien traitée chez elle).
Lotte
Lotte vit aux Pays-Bas. Elle avait une éruption cutanée circulaire et avait été testée positive deux fois pour Lyme. Elle n’avait reçu aucun bon traitement et seulement des mauvais diagnostics. Après qu’on lui a dit qu’il n’y avait pas de traitement aux soins réguliers, elle a décidé d’aller à l’étranger pour chercher plus d’aide et elle a réussi à aller mieux petit à petit. Malheureusement, ses allocations sociales lui ont été coupées et son assurance ne couvrait donc plus son traitement. Lotte est financièrement ruinée.
Contexte:
Actuellement, les Pays-Bas traitent toujours la maladie de Lyme avec des directives anciennes, obsolètes et périmées. Après une prise d’antibiotique très rapide, les patients devraient être guéris. Ainsi, il n’y aucune reconnaissance et compréhension pour les patients atteints de Lyme chronique, et donc aucun traitement, aucune compensation ou aide financière ou médicale.
Les compagnies d’assurance ne couvrent pas les nouvelles directives reconnues* de tests et de traitements. Seules les personnes ayant assez d’argent peuvent se faire traiter à l’étranger. Trop de patients sont laissés seuls dans leur coin. Ils n’ont aucune aide et sont privés de leurs avantages sociaux (par exemple de leurs allocations).
Ce documentaire va se concentrer sur la situation actuelle et le manque de connaissances dans le secteur de santé. Des patients, des experts des Pays-Bas et étrangers vont partager leur vision et montrer quels sont les principaux problèmes rencontrés pour permettre d’être traité de la maladie de Lyme aux Pays-Bas.
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